1. Une confiance renforcée face aux mutations du travail
- 69 % des actifs se disent confiants en leur avenir professionnel (+2 pts vs 2024), malgré une perception accrue de transformation rapide des métiers (43 %).
- La moitié des actifs envisagent de changer d’emploi, surtout chez les jeunes et dans le BTP.
2. La formation : un enjeu personnel… mais aussi collectif
- 74 % estiment que la formation continue est avant tout de leur responsabilité, mais l’attente envers l’accompagnement public et privé augmente.
- 69 % se sentent suffisamment acteurs de leur parcours, un score stable mais inégal selon le statut (moins élevé chez les chômeurs et les 50+).
3. Information et dispositifs : un besoin de clarté
- Seuls 53 % des actifs se disent bien informés sur la formation professionnelle.
- L’apprentissage (94 %) et le bilan de compétences (92 %) sont très connus, mais Pro-A et Cléa restent confidentiels (36 % et 31 %).
4. La reconversion : une aspiration forte malgré une baisse
- 18 % des actifs préparent une reconversion (-3 pts), mais 47 % sont concernés ou intéressés.
- Le besoin d’accompagnement (62 %) et de formation spécifique (61 %) est central dans ces parcours.
5. L’IA, une révolution perçue mais encore floue
- 72 % ressentent le besoin de se former à l’IA, surtout sur les bases, l’automatisation et la fiabilité des outils.
- 97 % des actifs connaissent l’IA, 64 % s’y sentent à l’aise, mais 41 % se disent mal informés.
- 53 % l’utilisent déjà au travail, notamment pour la rédaction, la recherche ou l’analyse.
- Les effets de l’IA sont vus comme une opportunité (43 %), mais aussi source d’inquiétudes éthiques et humaines (dépendance, qualité, interactions).